La cuisine au masculin

Confinement oblige, nous avons tenu un conseil de famille, je sais tout de suite les grands mots. Pour résumer, nous sommes passés en mode organisation et avons décidé de nous répartir les rôles.

A l’unanimité comme tout le monde se souvenait de mon mémorable gigot d’agneau que j’avais préparé pour Pâques l’année dernière, j’ai donc été nommé cuisinier en chef. Ça tombe bien, faire la cuisine n’est pas pour me déplaire.

Donc aujourd’hui, les papas, les mamans sont aussi les bienvenues, je vais vous donner quelques conseils pour ne pas être très vite débordés.

Faire la cuisine tous les jours, midi et soir, ce n’est pas comme préparer le plat de l’année une fois tous les cinq ans…

Il va falloir tenir la distance, donc inutile de partir au grand galop, de sortir toutes les marmites de mamie et à mettre la cuisine à feu et à sang… Ça va se jouer sur la longueur, l’organisation, une bonne gestion des produits et pas mal d’astuces. Le coup du papa cuisinier d’un soir qui veut remporter le prix de camaraderie auprès de ses enfants en leur servant le célèbre combo frites escalopes cordon bleu, ça ne va pas le faire longtemps. Donc inutile de dévaliser le congélateur, garder l’option pour les soirs où vous êtes en manque d’idées, ce qui arrivera forcément.

Petite contrainte supplémentaire qu’il ne faut pas négliger, les ingrédients. En cette période particulière, vous ne pouvez pas descendre 3 ou 4 fois par jour chez vos commerçants préférés. Il faut être rigoureux sur la gestion des stocks. Il va falloir faire avec ce que vous trouverez, donc ne compliquez pas la situation en voulant absolument faire goûter à la famille votre célèbre sauté d’agneau aux combavas et gingembre frais. C’est le moment de faire l’inventaire dans vos flacons d’épices, vous allez probablement dénicher des trésors insoupçonnés comme cet assortiment de 5 poivres. C’est peut-être le moment de s’en servir, tout comme le gingembre en poudre dont il vous reste 3 flacons neufs… au cas où. Il faut donc commencer par regarder ce qu’on a dans les placards et le réfrigérateur. Sélectionnez les produits frais, les légumes qu’on a achetés en grande quantité il y a une semaine, toujours au cas où… ainsi que la viande et les laitages. Afin de ne pas gâcher, on va privilégier la préparation des aliments en fonction de leur date de fraicheur ou, pour les légumes et les fruits, de leur état de conservation. C’est donc le moment de sortir les choux fleurs que vous avez acheté. Et c’est là où toute votre créativité va se montrer utile. Parce qu’il est hors de question de faire 4 kilos de choux fleurs à la vapeur que vous allez servir midi et soir pendant 48h et peut être même au petit déjeuner. Il faut varier les menus ! Je propose qu’une partie soit réservée crue en petits bouquets pour l’apéritif, une seconde partie en velouté au cumin à déguster froid et le reste en gratin avec du roquefort.

Mais avant toute chose, une cuisine n’est pas un champ de bataille, ni avant, ni après, alors si vous devez y passer du temps quotidiennement, je vous conseille de garder l’endroit propre et bien organisé, tout le monde n’a pas la chance d’avoir une cuisine grande comme un terrain de football, j’exagère… disons grande comme un terrain de volley !

L’hygiène d’abord

Vos ustensiles doivent être parfaitement lavés ainsi que les surfaces de travail, les légumes rincés, les produits frais conservés dans un endroit réfrigéré et les mains propres.

Il faut prévoir vos menus à l’avance, partir de ce que vous avez sous la main, plutôt que de vous lancer dans des recettes improbables dont il vous manquera la moitié des principaux ingrédients. Alors pour éviter ce genre de mésaventure, tenez compte de ce qu’il y a. Par exemple, les restes d’un poulet que vous avez servi rôtis la veille seront parfaits pour une salade César, cela vous permettra d’utiliser le pain rassis et que vous allez transformer en délicieux croûtons ainsi que le sachet de salade dont la date de fraicheur ne tient plus qu’à un fil. Et c’est peut-être l’occasion de tester la sauce César faite maison, cherchez bien, je suis sûr qu’il vous reste des œufs, un sachet de parmesan râpé rescapé au fond du tiroir du réfrigérateur, un malheureux citron qui devrait arriver à vous fournir la cuillère à soupe de jus nécessaire et la bouteille de sauce Worcestershire dont vous vous êtes toujours demandé à quoi ça servait.

C’est peut-être l’occasion de redécouvrir des ingrédients auxquels vous ne pensiez pas. Ce pauvre sac de lentilles, par exemple, celles que personne ne veut manger, le moment est venu de s’en occuper. Essayer les en salades, avec des petites tomates cerises. Rajouter le concombre en petits dés, émincez un oignon rouge, compléter avec un poivron coupé en morceau si vous en avez un sous la main et mélanger des cubes de féta nature.

Et comme vous êtes un homme prévoyant vous avez gardé le reste de lentilles pour en faire un délicieux consommé froid avec de la menthe et la coriandre. Ça fera une entrée parfaite.

Ne pas hésiter à faire plus.

Je m’explique, ce soir vous avez décidé de faire du poisson (en plus ça fera de la place dans le congélateur), pas de panique, une recette simple, au four avec des petites tomates, un filet d’huile d’olive et juste mouillé avec du bouillon ou du vin blanc. Vous allez servir le plat avec un écrasé de pommes de terre au romarin. Pour ce faire, je vous conseille de réquisitionner le jeune confiné devant son ordinateur et de lui proposer de se dégourdir les doigts en épluchant quelques légumes en compagnie de son père bien aimé. Devant sa bonne volonté évidente, glisser également le sachet de carottes à éplucher, elles seront parfaites façon vichy pour un futur repas. Quant au reste des pommes de terre, au four ou en salade, elles feront l’affaire.

Profitez de ce moment de communion familiale pour peler quelques oranges que vous découperez en fines tranches et servirez en carpaccio avec de la cannelle et un peu de fleur d’oranger.

Le secret, c’est avant tout de varier les menus et en ces périodes de confinement, de ne pas manger trop gras ni trop calorique. Il faut des repas équilibrés et si possible qui plaisent à tous. Tenir la distance, ne pas s’essouffler et pour ce faire, revisiter les classiques avec une touche de modernité. Il faut que les repas soient des moments conviviaux et agréables. Des plats simples avec une pincée de créativité qui feront de vous le chef cuisinier incontesté de la maison.

Comment porter des talons sans avoir mal aux pieds ?

Eh oui, j’ai encore craqué pour une paire de chaussures à Saint Max Avenue. Les escarpins, c’est mon péché mignon, j’adore ! Je ne vous dirai pas combien j’en ai, mais il va falloir que je songe à agrandir mon placard à chaussures.

Seulement voilà, nous avons beau faire très attention au moment de les choisir, prendre le temps d’essayer les modèles qui nous plaisent, pied gauche, pied droit, nous lever, marcher, un pas en avant, un pas en arrière, flexions, extensions, nous ne sommes jamais à l’abri d’avoir mal à nos petons si sensibles. Au bout de quelques heures, chaussées de nos petites merveilles ultra fashion aux talons de 10 cm qui nous font des jambes d’un galbe incroyable et des chevilles de rêve, cela peut hélas, vite virer au cauchemar.

Je vais donc vous livrer quelques secrets pour éviter ces douloureuses expériences : vos pieds me remercieront.

Premier conseil, ça paraît évident, mais on n’y pense pas toujours. Commencez par essayer plutôt en fin d’après-midi, la petite paire de la dernière collection de Tamaris Creil qui vous a tapé dans l’oeil. Les pieds ont tendance à gonfler (légèrement, rassurez-vous) au fil de la journée et encore plus en été. C’est LA bonne astuce pour ne pas avoir de douloureuses surprises et les pieds trop comprimés, le soir où vous porterez vos chaussures pour la première fois !

 

Une petite heure chaque jour à la maison

 

Inutile de tenter le marathon avec vos escarpins dès votre achat. Pour les faire, mieux vaut les porter à la maison, un peu chaque jour, avant de vous lancer dans la rue. Ce sera beaucoup plus confortable pour faire admirer vos dernières acquisitions à toutes vos copines.

Privilégiez le cuir, une matière qui laissera respirer vos pieds évitant ainsi les frottements liés à la transpiration, car qui dit frottements, dit brûlure… et apparition d’ampoules. Tout l’inverse du confort !

Que cela ne vous empêche pas d’anticiper les ampoules. Mieux vaut prévenir que guérir ! Placez des pansements aux endroits sensibles pour contourner le problème et éviter d’avoir mal aux pieds.

Puisqu’on est sur le sujet des pansements, sachez qu’il en existe une ribambelle ! Ceux pour ampoules, ceux pour les frottements, ceux pour les durillons. Les petits pansements seront très utiles par exemple, pour attacher votre 3e et votre 4e orteil ensemble. Un moyen malin de ne jamais perdre l’équilibre et qui vous fera sentir plus confortable dans vos chaussures. Un truc tout simple donc : scotcher vos orteils ! pas très esthétique, j’en conviens, très efficace !

Toujours sur le registre des petits sparadraps, vous pouvez en utiliser pour les lanières de vos chaussures. À l’arrière de vos escarpins, mettez un pansement discret ou à d’autres endroits sensibles : l’arrière du talon, de chaque côté de vos pieds à l’avant.

Pour celles qui ont peur que ça se voie, voici une petite astuce qui peut sembler curieuse, mais qui marche : il suffit de frotter du savon sec sur les parties concernées, il fera office de lubrifiant et protégera vos pieds des frottements sans pour autant abîmer votre sublime paire de chaussures ! Un petit détail supplémentaire, inutile de vous le préciser, choisissez de préférence un pain de savon parfumé.

Quand les pansements ne suffisent plus, on peut recourir à toute une panoplie de coussinets et protège-talons en silicone spécialement conçus pour nos pieds sensibles. Pas toujours très discrets, mais efficacité garantie.

Si vos dernières trouvailles ne sont pas en vrai cuir, ressortez le bon vieux talc. Celui-ci recouvrira vos pieds d’une douce protection, absorbera toute la transpiration et protégera vos pieds des échauffements. Toujours au rayon frottements, je sais, c’est une obsession chez moi, vous pourrez vous protéger et éviter les ampoules avec une crème hydratante. Appliquez une noisette à l’intérieur de la chaussure aux endroits stratégiques, vous verrez : c’est très efficace !

À défaut d’escarpins en cuir, vous pourrez investir dans une bonne semelle intérieure. On y pense rarement, mais sa présence offre une meilleure adhérence à votre pied dans la chaussure. Vous êtes mieux soutenue et votre marche est plus assurée. Choisissez de préférence une semelle en cuir, elle aidera également à moins transpirer.

 

Maintenant, abordons le coeur de notre sujet : comment marcher avec des hauts talons ? Prenons notre courage à deux mains !

 

On a toutes croisé des femmes avançant tels des robots, les pieds en avant, le pas incertain. C’est pas très glamour, mais ne soyons pas trop critiques, souvenez-vous de la première fois où vous avez porté des escarpins, ça ne devait pas être triste.

D’abord on s’entraîne à la maison au calme et sans les enfants à proximité. On commence par des petits pas, le corps bien droit, on regarde droit devant soi. L’objectif est de trouver son équilibre et d’éviter de se tordre la cheville à chaque pas, puis descendez et montez des escaliers plusieurs fois.

Inutile de vouloir aller trop vite ou d’imaginer marcher comme si vous portiez des chaussures plates. Vous n’arriverez, de toute façon, jamais au même résultat.

Lorsque vous commencerez à vous sentir à l’aise chez vous, débutez d’abord par une sortie au restaurant où vous n’aurez pas trop à marcher, vous pourrez ensuite tester une soirée plus longue. Avant de passer enfin, à la journée complète, prévoyez une paire de chaussures plates de secours. Attention aux ballerines qui n’ont pas du tout de talons et des semelles très fines, elles apporteront peu de soutien à vos pieds.

Enfin pour conclure, j’aurais même pu commencer par ça, le confort commence par le bien-être de vos pieds. Faites comme moi : bichonnez-les ! Enduisez-les régulièrement de crème hydratante, massez les quelques minutes, au moins une fois par semaine. Porter des talons ne vous fera plus peur et les escarpins dont vous étiez folle le jour où vous les avez achetés, vont pouvoir ressortir de leur boîte.

Comment porter le sweatshirt avec classe ?

Avant c’était simple, les sweatshirts, plus ils étaient doux, plus ils étaient larges et pour peu que les couleurs me plaisent, l’affaire était réglée : je ne me posais pas de question. J’ai donc décidé de faire un peu plus attention à ma façon de m’habiller, tout particulièrement dans le choix de « la pièce maîtresse de ma garde-robe » (comme dirait ma sœur) : le sweat-shirt, et pour moi plus spécialement, le Hoodies ou sweat à capuche.

Je ne veux pas critiquer les choix de ma mère en matière de sweatshirt, mais j’ai décidé de prendre les choses en main rapport à mes goûts. Direction Saint-Max Avenue, j’ai toutes les boutiques devant moi, en direct du Centre commercial Creil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment bien choisir son sweatshirt ?

D’abord, il y a la MATIÈRE du sweatshirt, elle peut changer en fonction du moment, des activités et de sa résistance dans le temps, genre après deux lavages : « Bonjour les bouloches ! » ; tout le monde rigole, sauf vous.

Ensuite vient le choix de la COULEUR, celle qu’on aime, celle qui pourra s’associer avec le reste de vos vêtements et celle qui correspondra le mieux à votre envie du moment.

Et puis il y a la TAILLE du sweatshirt, si vous ne voulez pas ressembler à un Yeti ou au gars qui sort en pyjama.

Petit détail, il faut faire attention aux FINITIONS ! Mieux vaut essayer le sweatshirt pour être certain qu’il vous va bien.

Maintenant on va rentrer dans les détails afin de vous aider à bien choisir votre sweatshirt.

On ne peut littéralement pas tricher avec un sweat. En choisir un de qualité approximative, c’est risquer de renvoyer une mauvaise image comme dirait mon père.

Un bon sweat, ça commence par un bon coton. Recherchez des matières plus denses que la moyenne, légèrement compactes : elles tiendront mieux dans le temps et résisteront aux programmes de lavage façon paternelle.

Retournez le sweat et regardez les boucles du molleton, c’est un très bon indicateur. A priori, plus elles sont régulières, plus la confection est soignée.

Enfin, observez les finitions : bords-côtes, coutures, poches…

C’est quoi LA BONNE COUPE ?

On n’est pas tous d’accord …

Pour certains, un sweat doit se porter fitté, une coupe bien ajustée offrant un rendu plus net. C’est une façon de casser le côté parfois « négligé » qu’on peut reprocher au sweat. Merci père pour tes conseils ! Sur ce coup-là, il n’a pas totalement tort.

Personnellement, j’aime que mes hoodies aient une coupe confortable. Un peu ajustée, mais surtout pas moulante, malheureux ! Je tiens à rester cool.

Quoi qu’il en soit, évitez les coupes trop larges, bien qu’elles puissent avoir un véritable intérêt dans un look streetwear, il vaut mieux bien maîtriser l’effet, surtout avec un hoodie.

Question COULEUR

Pas de surprise : le noir, le bleu, le gris et le kaki restent les couleurs les plus simples à porter, sobres et pas trop connotées. Elles iront avec tout, ou presque. Je sais, je suis un peu classique. Justement, j’ai bien aimé la collection H&M Creil, ils ont des hoodies kaki ou sable et d’autres teintes à la mode.

Pour les hoodies, je vous conseille d’éviter les cordons blancs à la capuche. Regardez plutôt du côté des finitions ton-sur-ton, ou assorties, moi je préfère, ça fait plus classe.

Concernant les couleurs, allez voir la collection de sweatshirts de Celio Creil, c’est sobre juste comme j’aime, et le coup des bandes de couleurs assorties sur les manches : ça m’a plu !

Rien ne vous empêche les couleurs vives, faut juste faire attention avec quoi vous allez les mettre. Dans le style, jetez un œil au Nike Factory Store, ça va du basic incontournable et indémodable au flashy bien looké.

ZIP ou pas ZIP, telle est la question !

C’est une vraie question de goût pour le coup.

Si je devais réfléchir en termes pratiques, je vous conseillerais le modèle zippé : vous serez plus libre pour mettre plusieurs couches en dessous.

On peut l’imaginer porté par-dessus un pull, un polo ou un tee-shirt. C’est aussi l’occasion de jouer avec les couleurs vives en dessous.

Un modèle classique (sans zip) aura un style plus marqué sportswear / streetswear, d’autant plus si vous le choisissez avec une poche kangourou, trop bien pour glisser ses mains.

À vous de voir ce que vous recherchez.

Les erreurs à éviter

Pour porter votre sweat en toute tranquillité, évitez :

  • Les couleurs trop criardes qui vous estampilleront adolescent même si vous en êtes un. Pas besoin de le crier sur tous les toits, tout le monde vous le rappelle suffisamment souvent.
  • Les motifs bizarres et maladroits (genre, c’est moi qui l’ai fait avec des feutres que j’ai piqué à ma sœur, sympa le jour même, ringard le lendemain) et les slogans que vous êtes seul et éventuellement votre meilleur ami, à comprendre. Si vous aimez les inscriptions et autres graphismes tendance, alors soyez pointu, allez voir la gamme de sweat de chez Fiesta Revolution Creil
  • Les molletons grossiers, d’autant plus s’ils sont doublés de fausse laine. Style berger des Landes pour publicité de fromage de brebis, je laisse ça à papy.
  • Les coupes larges et informes qui crieront : « Je viens de sortir du lit et j’aurais dû y rester », faut éviter aussi.

Donc si vous suivez ces quelques conseils, vos parents ne vous regarderont plus aussi bizarrement quand ils vous verront sortir, votre sœur aura moins honte de son petit frère, votre copine dira : « Trop mignon ! » et vos copains vous demanderont où vous les avez trouvés tous ces sweats trop bien.

Je vous ai donné quelques tuyaux, mais bon : faut que ça reste entre nous, je ne voudrais pas qu’on soit tous habillés pareil…

Comment porter une robe pull sans ressembler à une pelote de laine ?

Quand ma mère m’a conseillé les robes en pull, je vous l’avoue j’étais un peu sceptique, dans le genre me transformer en pelote de laine géante en un rien de temps, non merci. Et puis, le froid est arrivé. Comme à chaque saison, je ne sais plus comment m’habiller. Quoi mettre avec mon manteau douillet que j’adore, ma collection de pulls cocooning, mes collants tous doux et de toutes les couleurs trouvés à Saint-Max Avenue ? Seulement voilà, question jolies petites robes pour aller avec, c’est pas gagné.

Heureusement, il en faut plus pour me désespérer. Et là, j’hésite pas, je file au Centre commercial Creil où il y a un max de boutiques de vêtements trop tendance, j’ai découvert plein de jolies robes à porter quand il fait froid ! Vous souhaitez allier chaleur, confort et style, pourquoi ne pas choisir la petite robe pull ? Robe pull, le mot est lâché… j’en vois qui partent, revenez les copines ! vous auriez tort de la bouder.

 

 

 

 
 

Avant tout, il y a quelques conseils de base à suivre.

D’abord, comment choisir sa robe pull en fonction de sa morphologie ? Comment bien l’accessoiriser ? Ou tout simplement comment porter une robe pull et quelle coupe choisir ?

Courte ou longue, épaisse ou légère, XXL ou près du corps, elle se décline dans tous les genres, c’est ça qui est bien.

Il existe plusieurs modèles. La robe pull classique à la coupe droite ou moulante. La robe pull oversize, que ce soit pour vos blazers, vos manteaux ou d’autres pièces, vous aimerez l’effet décontracté chic que donne l’oversize. Une robe oversize est un bon choix pour obtenir un style sophistiqué. Il y a aussi la robe pull col roulé : incontournable pour les frileuses. La robe pull longue : over tendance, elle convient parfaitement aux grandes. Et enfin, la robe pull sweat-shirt : parfaite pour des looks sportswear.

 

Pour les accessoires j’ai ma petite idée

Les mauvaises langues, j’en connais quelques-unes, diront que porter une robe pull n’est rien d’autre qu’un pull trop long à qui il manque forcément un truc. Prenez le temps de l’accessoiriser, vous pourrez créer un look moderne et chic avec votre robe pull. Voici quelques conseils pour l’accessoiriser facilement.

 

Avec une ceinture

La robe pull peut rapidement paraître « un peu plan-plan » comme dirait ma mère, si les accessoires sont mal choisis. La règle de base est donc de sélectionner des
accessoires tendance pour rehausser l’ensemble et en faire un look over tendance. Cette année, les ceintures sont partout, j’en ai vu toute une collection chez  Camaïeu. Assorties aux blazers, jupes plissées, robes et même à des manteaux.

 

Quelle ceinture mettre avec une robe pull ?

Choisissez-la plutôt large dans des tons noir, bordeaux, camel. Moi, j’ai opté pour des motifs animaliers pour faire style glam. Préférez des ceintures avec une boucle ou un fermoir au centre, c’est plus actuel.

 

Pourquoi pas une veste avec une robe pull ?

Mes copines vont penser que je suis folle, la robe pull elle est super chaude et méga épaisse (j’exagère un peu sur ce coup là, elles ne sont pas toutes épaisses) ; alors le coup de la veste par-dessus, ça risque de faire beaucoup. Et pourtant, on peut quand même se poser la question, à juste titre : avec quel type de veste on va bien pouvoir associer notre petite robe pull qu’on adore?

 

C’est très simple, il faut choisir une veste en prenant en compte votre morphologie, mais également en fonction du modèle de robe pull que vous avez choisi.

 

Je m’explique…

 

Si votre robe pull est une robe sportswear et que vous la portez avec des baskets (j’en ai vu au Nike Factory Store, promis je vous en reparlerai une prochaine fois), choisissez un gilet en maille, l’effet double maille fonctionne à merveille. Attention faut juste veiller à ce que celui-ci soit toujours aussi long que votre robe pull. Vous pouvez aussi ajouter une grosse écharpe pour parfaire le tout.

Si vous aimez le genre rock : optez pour un combo perfecto en cuir, boots cloutées ou derbies et robe pull. Le perfecto est parfait pour ce style de tenue ; on peut le remplacer par une veste en jean !

 

Pour un look élégant, prenez une veste de costume cintrée et faites un joli rappel avec des chaussures habillées, perso j’ai repéré une veste blazer avec imprimé pied de poule chez Armand Thierry ça sera parfait.

 

Vous avez craqué pour une robe pull oversize et ne trouvez pas quoi mettre par dessus? No stress, avec une robe pull oversize on choisit sans hésiter, un manteau long droit ! D’une part, c’est l’un des manteaux tendance de l’hiver 2019/2020, et d’autre part, cela apportera une touche classe à votre tenue ; il y en a un qui me fait de l’œil pile comme il faut chez Jacqueline Riu.

 

Dernier conseil, si vous optez pour une robe pull grise, beige ou camel, n’hésitez pas à sortir vos plus beaux collants à motifs, le petit détail qui fait la différence ! Rouge Gorge en a rentré toute une collection, le must.

La robe en maille est l’une des pièces mode les plus facile à porter. Vous auriez tort de la bouder, la preuve, je l’ai conseillée à toutes mes copines.

 

Image : Camaieu

Comment s’habiller en hiver sans avoir ni trop chaud ni trop froid ?

La difficulté quand les températures baissent, c’est de trouver la tenue adéquat. Ni trop chaude ni trop froide. Parce que s’il gèle dehors, au bureau et dans les transports en commun, c’est la canicule. Comment s’habiller en hiver sans avoir ni trop chaud ni trop froid ? C’est l’épineux problème auquel on se frotte. Voici la réponse.

 

Il faut être honnête : quand on passe de l’été à l’hiver, on ne sait plus comment s’habiller en automne. Ni en hiver, d’ailleurs.

Dehors, on grelotte mais dans les bureaux et les transports en commun, les chauffages fonctionnent à fond la caisse.

Et entre nous, à moins d’être jardinier, on passe plus de temps dans l’open space que dans le froid. N’empêche qu’on n’a pas envie d’avoir froid en sortant notre nez dehors.

L’idée principale quand on veut s’habiller pour l’hiver mais n’avoir ni trop chaud ni trop froid, c’est de choisir les bonnes pièces mode et de faire les bonnes combinaisons.

Alors, comment trouver la tenue idéale pour s’habiller en automne comme en hiver ? Que faut-il choisir pour suivre les tendances mode automne hiver sans avoir ni trop chaud ni trop froid ?

On vous explique tout ce que vous devez savoir sur les looks hivernaux.

S’habiller en hiver, c’est multiplier les couches

La vraie astuce mode quand les températures baissent, c’est de maîtriser l’art du layering vestimentaire. En clair : superposer les couches tout en restant tendance et chic.

  • L’avantage

Pouvoir se déplumer toute la journée sans finir en culotte.

  • Comment on fait ?

On adore le gilet qui devient notre partenaire privilégié de tout l’hiver. Il vient réchauffer nos petites robes d’hiveret se combine aux chemises et aux blouses sans être indispensable à son look.

Deuxième piste : toujours porter une chemise sous un pull. Chemise en jean ou chemise à carreaux, l’association fonctionne toujours.

Troisième option même si moins évidente : associer le pull col V avec le t-shirt manches longues. Risqué mais à tenter !

Choisir la bonne pièce mode pour s’habiller en hiver

En hiver, il suffit, parfois, de choisir LA bonne pièce. Celle qui va nous tenir à la bonne température.

  • La doudoune légère

Sous un manteau léger en automne, sous un manteau chaud en hiver, la doudoune légère est suffisamment fine pour s’incruster sans s’imposer.

On trouve des modèles chez Comptoir des Cotonniers, chez Uniqlo ou encore chez IKKS.

  • Le collant épais

Avec une jupe courte ou une robe d’hiver, le collant en laine peut sauver des vies. Pareil pour le legging en maille.

  • Le col en fausse fourrure amovible

On n’utilise pas assez cet accessoire mode pourtant bien pratique. Combiné à un pull ou à un manteau col rond, le col en fausse fourrure amovible peut réchauffer juste quand et là où il faut.

  • Le body

On oublie trop souvent le pouvoir du body. Porté sous une blouse tendance ou sous une chemise, le body maintient le corps à la bonne température.

Il suffit à tenir chaud et on craque pour l’association gros pull en maille et body en dentelle. L’art d’être sexy sans en avoir l’air !

  • La fausse fourrure sans manches 

Comme la doudoune sans manche, si la fausse fourrure sans manches ne fait pas l’unanimité, elle peut tout de même être un bon réconfort en hiver.

Portée sur un perfecto, sur un gros pull ou sur un manteau fin, elle fait son petit effet.

  • Le plaid à porter

Le plaid à porter, c’est la facilité. Associé à un manteau d’hiver ou à un pull, il réchauffe tant que vous le souhaitez.

Dès que vous avez trop chaud, il vous suffit de le retirer et vice-versa. En plus, ce gros plaid donne de l’allure et stylise un look trop sobre.

Les bonnes associations pour s’habiller en hiver

Et puis, avoir ni trop chaud ni trop froid en hiver, c’est aussi faire les bonnes associations. Il faut trouver le bon équilibre sans faire de fashion faux pas.

Par exemple, si on décide de porter un gros pull sans manteau, on l’associe obligatoirement à une écharpe XXL.

Pour une robe courte sans collants, on équilibre avec une grosse parka et des chaussettes dans nos derbies. Avec une jupe midi, on adopte les collants, les grosses chaussettes ou les bottes fourrées pour les chaussures. Côté pull, on opte pour un pull col roulé ou un gilet oversize.

Avec une salopette, c’est pareil. On la porte, mais on glisse un body chaud ou un pull fin dessous et on rajoute un perfecto en cuir et une grosse écharpe.

Pour ne pas en faire trop, on porte sa robe d’hiver avec des collants et un joli blazer. Et enfin, avec un col roulé, on la joue soft et on n’ajoute qu’un petit manteau fin.

>> Alors, prête à passer votre penderie à l’heure d’hiver sans avoir ni trop chaud ni trop froid ?

 

« Par Cosmopolitain.fr »

Le guide ultime du sac à dos pour homme

Si les femmes sont nombreuses à porter le sac à main, les hommes aussi ont droit à leur besace. Et c’est surtout le sac à dos qui redevient tendance.

Depuis la nuit des temps, le sac est considéré comme un accessoire féminin. OK. Mais nous, on fait comment pour transporter nos petites affaires, alors ? Vous avez déjà essayé de squatter une petite place dans le sac de votre partenaire ? C’est la crise assurée : à cause de votre tout petit portefeuille, elle ne retrouve plus rien !

Du coup, une seule solution (si l’on refuse les sacs banane, les besaces ou les mini-sacoches) : tout mettre dans ses poches et les déformer allègrement avec, de surcroît, un risque plus important d’être la cible des pickpockets… Heureusement pour nous, messieurs, de nombreux créateurs se sont penchés sur ce problème et nous ont sorti toute une gamme de sacs à dos ultra-masculins.

 

Comment les choisir et les porter : on vous dit tout !

 

Comment choisir son sac à dos

Le choix d’un sac à dos dépend de ce que vous allez en faire :

  • pour aller travailler, c’est un sac rigide, de bon volume, pouvant contenir votre ordi et vos dossiers que vous allez devoir choisir ;
  • pour les balades du week-end, le sac à dos pourra être plus petit, juste de quoi mettre le nécessaire style portefeuille, parapluie, portable, bouteille d’eau et guide ;
  • pour le sport, il faudra partir sur des sacs à dos plus grands, souples, qui vous permettront d’entasser tout le matos nécessaire.

 

L’idéal, c’est d’avoir un sac à dos adapté à chaque activité ! Si vous n’avez pas le budget nécessaire pour une triple dépense, optez pour un sac classique qui pourra faire boulot et week-end et ressortez votre vieil Eastpack (on en a tous un avec un cœur stabiloté dessus par la copine du moment !) en attendant de faire des économies. Et pour trouver le sac à dos idéal, plutôt que les sites e-commerce généralistes (Amazon, Zalando et compagnie), préférez les spécialistes de cet accessoire comme www.abordage-shop.com.


Focus sur le confort

Vous allez avoir votre sac sur le dos une bonne partie de la journée, notamment durant les week-ends ou si vous faites de la rando. Pensez donc bien à essayer le sac sur lequel vous avez jeté votre dévolu pour vous assurer de son confort. Un sac inconfortable peut facilement vous gâcher de bons moments à cause de maux de dos.
Les sacs à dos pour le travail se doivent aussi d’être confortables, mais c’est un élément à prendre un peu moins en compte dans la mesure où le sac sera porté moins longtemps.

ATTENTION : quel que soit le sac à dos, vérifiez bien que les bretelles soient ajustables !

À chaque âge son sac

Aux alentours de 30-40 ans, il faut grandir et laisser aux teenagers les sacs qu’ils affectionnent. Vous, maintenant que vous êtes un grand, vous allez pouvoir vous tourner vers un sac plus classique certes, mais plus approprié à votre âge. Vous êtes triste de lire cela, car votre neveu adore quand vous portez votre sac Teen Titans Go alors que vous avez 50 ans ? Eh bien donnez-le-lui ! Il sera ravi et vous, vous pourrez passer dans le pays merveilleux des sacs à dos adaptés à votre âge.

Quelle matière choisir ?

Si on oublie le plastique, qui a tendance à s’abîmer trop vite, il ne reste que deux choix de matière : le tissu ou le cuir. Le tissu propose plus de variétés dans les couleurs et les textures. Si c’est le matériau que vous privilégiez, assurez-vous qu’il soit déperlant et traité antitache.

Si vous êtes plutôt cuir, pensez bien avant de l’acheter que votre sac à dos va vous demander un entretien régulier pour garder sa qualité au top. Pour les couleurs, à vous de voir en fonction de votre dressing.

Comment reconnaître un sac de qualité ?

Pas de mystère pour reconnaître un sac à dos de qualité : il faut le retourner dans tous les sens, scruter les fermetures et les coutures, et examiner l’intérieur.

– Si vous cherchez un sac qui se tient bien, assurez-vous que le matériau dans lequel il est fait soit assez épais pour ne pas s’affaisser au bout d’une semaine.

– Les coutures doivent être faites avec du gros fil et vous ne devez pas avoir à couper des morceaux qui dépassent en rentrant chez vous. Elles doivent être renforcées (plusieurs piqûres) au niveau des attaches des sangles et des manches éventuelles.

– L’intérieur doit être d’aussi bonne qualité que l’extérieur. Vérifiez que la doublure colle bien à la forme du sac pour éviter toute déchirure quand vous y déposerez vos affaires.

– Les zips éventuels doivent glisser sans accrocher et les boutons (pressions ou autre) doivent s’emboîter sans avoir besoin de forcer.

 

Comment porter son sac à dos ?

Votre veste a deux manches ? Et vous mettez les deux ? Eh bien, pour le sac à dos, c’est la même chose ! Il a deux sangles pour le porter, donc il faut en enfiler une sur chaque épaule. Pourquoi ?

  • Ça évitera que votre sac ne se déforme.
  • Vous ne passerez pas votre temps à rattraper votre sac à dos qui ne manquera pas de descendre le long de votre bras si vous ne l’avez mis qu’à une seule épaule.
  • Ce sera bénéfique pour votre dos.
  • Ça vous évitera d’avoir un look d’ado attardé.

Nos marques préférées

Elles sont nombreuses, mais on a quand même nos chouchoutes :

  • Pour le sport, on aime les sacs à dos Patagonia, ultra-confortables, avec lanières et dos renforcés, très bien conçus pour les sports outdoor.
  • Dans la série des sacs à dos de week-end, on aime beaucoup la marque Sandqvist, avec sa contenance parfaite.
  • On craque pour les Bennett Winch en cuir pour aller travailler. Ils sont raffinés, au design classique, avec beaucoup de rangements. En plus, ils sont fabriqués à la main en Angleterre, un vrai gage de qualité.

Vous trouverez votre sac à dos de qualité sur le site Abordage-shop, quel que soit le style que vous recherchez.

Pour conclure, nous allons répéter quelque chose d’essentiel : même si vous adorez Star Wars, le sac à dos R2-D2 n’est pas pour vous si vous êtes en costume et que vous partez travailler au ministère des Finances. J’entends déjà des voix s’élever… Alors oui, ça donne un petit côté décalé, mais non ce n’est pas approprié. Garder votre sac fétiche pour le week-end si vous voulez, mais optez pour plus classique pour aller bosser !

 

 

« Par  Masculin.com »

5 Conseils Pour Bien Choisir Son Jean’s

Au premier coup d’oeil, la couleur est ce qui va attirer ou au contraire rebuter. Aujourd’hui, le jean est travaillé, teint etc… Bref, il y en a pour tous les goûts ! Mais difficile de trouver celui qui nous sied le mieux au milieu de toutes ces teintes ! Pour commencer, il est bon de savoir que le jean brut est un classique et se fond parfaitement dans la tendance du moment.

Le bleu clair donne un aspect plus casual, et même s’il peut se porter en toute saison, il sera vraiment plus apprécié en été et beaucoup plus difficile à porter. Le jean brut sera porté beaucoup plus aisément en hiver, avec des pulls en grosse maille, ou au printemps avec de belles chemises, il est bon également d’avoir en tête que le jean clair, voire très clair, est porté par les jeunes hommes au style plutôt affirmé, type skateur par exemple, et est un peu passé de mode.

La coupe

La coupe la plus évidente est la coupe droite. Simple, elle ne peut pas véritablement être portée par toutes les morphologies. Cette coupe est surtout adaptée aux hommes qui ont des cuisses larges ou musclées.

La coupe slim, resserrée au niveau des cuisses et des mollets, est idéale pour les hommes qui ont des jambes fines. Cette coupe leur évite de faire l’erreur de porter une coupe large et inappropriée qui les fera paraître finalement encore plus fins.

La coupe “bootcut”, à savoir une coupe plus évasée au niveau des pieds, est faite pour porter de grosses chaussures types sneakers ou des bottines à lacets, et convient parfaitement aux physiques élancés.

L’astuce, pour vérifier que le jean que vous êtes en train d’essayer est fait pour vous, est de jeter un oeil à votre derrière : si le jean fait des plis au niveau des fessiers, il n’est pas adapté à votre morphologie. Ceux qui ont un physique élancé ou au contraire sont de petite taille, ne seront nullement mis en valeur par cette coupe.

La taille

Il est très important de souligner qu’il faut toujours essayer un jean ! La taille varie d’une marque à une autre et en fonction de la coupe. Aussi, entre deux tailles, vous pouvez vous retrouver avec un jean que vous ne mettrez finalement jamais.

Au moment de l’essayage, il faut que vous puissiez le porter tel quel, sans ceinture ou sans vous dire qu’il va rétrécir au lavage. Il doit serrer juste ce qu’il faut la taille, sans l’écraser pour créer un disgracieux bourrelet. Vous devez être à l’aise, il ne doit pas bâiller si vous vous penchez et il doit tout bonnement tomber sur vos hanches. Avec l’usure, il va parfaitement s’adapter à votre morphologie et s’élargir un peu, donc nul besoin de le prendre plus large de peur d’être trop serré.

La ceinture est un véritable accessoire de mode qui viendra compléter un look, mais elle ne doit aucunement être envisagée lors de l’essayage. Enfin, pour être certain que le jean est à la bonne taille, ne pas hésiter à s’accroupir, pour voir si l’exercice est simple et s’il ne nous fait pas un courant d ‘air dans le bas du dos.

La longueur

C’est un point auquel on ne porte finalement pas assez d’importance, puisqu’il est facile de penser revers, ourlets, coups de ciseaux… En vérité, la coupe est également basée sur cette fameuse longueur, à bien choisir donc. Pour cela, il faut savoir qu’il est plus élégant que le jean fasse un petit pli sur le dessus de la chaussure, on dit qu’il se “casse”.

Certains militent pour que le jean s’arrête à la hauteur de la chaussure, mais une petite pliure permettra de ne pas exhiber vos chaussettes lorsque vous vous asseyez. Un petit détail qui peut avoir son importance dans un look qui se veut un peu travaillé.

Boutons ou fermeture ?

Cela ne changera pas grand-chose à votre allure, mais en termes de look, il est vrai que les boutons sont plus tendance, et il est plus compliqué aujourd’hui de trouver des “zip”. Si elle est bien pratique au quotidien pour les petites envies pressantes, il est vrai qu’elle est plus simple à oublier de refermer. A vous de choisir ce qui vous plaît le plus…

Par  l’Internaute.com .

Dopez votre style : maîtrisez les pièces fortes et les basiques

Ras-le-bol de votre garde-robe plate et monotone ? Des tenues trop simples qui ne reflètent pas votre personnalité ? Aujourd’hui nous allons voir comment doper son style et maîtriser des pièces fortes et basiques.

Des pièces fortes ? Je ne veux pas avoir l’air d’un clown !

Pas de panique ! « Pièce forte » ne rime pas forcément avec « déguisement ». Une pièce forte, c’est le vêtement qui va se démarquer et donner du relief à votre tenue. Elle peut être caractérisée par sa couleur, sa matière, ses motifs ou encore sa coupe. Mouais… Bon, du coup je les choisis comment ? 

Définissez à l’avance les combinaisons possibles

C’est bien beau d’acheter des vêtements originaux mais si c’est pour qu’ils finissent dans vos placards, neufs, intacts et jamais portés, où se trouve l’intérêt ? Avant de sortir votre carte bancaire, le mieux est d’essayer vous-même le vêtement en question. Ainsi, vous pourrez projeter et imaginer les combinaisons réalisables entre ce dernier et votre garde-robe. De plus, vous pourrez limiter les erreurs de taille car certains vêtements taillent de façon très différente en fonction des morphologies (notamment les pantalons et les chemises). Comme vous l’aurez compris, cherchez toujours à pouvoir essayer un vêtement avant de l’acheter (vous pourrez faire un échange si vous passez par un e-shop, l’offre est en général très complète).

Autorisez-vous une petite marge supplémentaire pour votre coup de cœur

Alors oui, nous avons vu qu’il ne fallait pas avoir trop de pièces fortes et qu’il fallait être sûr de son achat – après un minimum de temps de réflexion n’est-ce pas. Cela ne signifie pas pour autant que vous n’ayez pas le droit de faire quelques folies, sans trop abuser non plus ! Si vous ressentez un gros coup de cœur pour une pièce. En effet, contrairement à une pièce basique où l’on préférera une approche plus rationnelle, les pièces fortes restent des achats bien plus émotionnels et personnels car elles permettent de donner de la personnalité à votre tenue, un peu comme les épices de votre grand-mère !

Le budget à prévoir pour bien s’habiller

Le budget à prévoir pour vos vêtements dépend vraiment de vos besoins. Pas besoin de dépenser des sommes astronomiques pour les basiques, à moins que vous soyez prêts à mettre plus pour de petites « features » comme des boutons en bois ou bien des finitions coupées au scalpel. L’entrée de gamme (Uniqlo, Monoprix, Zara, American Apparel, Maison Standards etc.) suffira pour la vie de tous les jours, tandis que vous pouvez vous tourner vers le milieu de gamme si vous recherchez des vêtements plus qualitatifs qui tiendront plus longtemps comme c’est le cas chez A.P.C., Balibaris, Acne, la Comédie Humaine ou encore Melinda Gloss.  Pour les pièces fortes, vous aurez en général à investir beaucoup plus que les basiques, car les matières ainsi que les designs sont en général beaucoup plus travaillés. Vous pourrez commencer à trouver des pièces de qualité à partir du milieu de gamme (voir les marques citées ci-dessus), bien que le top du top se retrouve en général en haut de gamme.

« Par l’internaute.fr »

Le naturel : tendance chic de l’automne !

C’est l’automne les feuilles tombent, cela nous inspire ! Camel, ocre, sable, moutarde … tant de nouvelles couleurs pour parfaire notre garde robe.

Cette tendance chic se retrouve aussi bien dans le prêt-à-porter que dans les accessoires.

Adoptez à votre guise le total look ou simplement quelques touches de ces couleurs automnales.

Cette saison, la nature inspire particulièrement les créateurs.

Le camaïeu rétro des nouvelles collections s’accorde donc parfaitement avec les matières chaudes et naturelles: velours, daim, cuir….

Concoctez-vous une garde robe aussi élégante que confortable.

Pour sublimer votre tenue, rien de plus simple, optez pour un maquillage nude pour faire ressortir votre beauté naturelle, alors osez les fards à paupière ocrés et les rouges à lèvres rosés.

Retrouvez cette tendance dans l’ensemble de nos boutiques de Saint-Max Avenue.

Lors de vos virées shopping n’oubliez pas de profiter d’une pause douceur dans nos restaurants.

À très vite chez Saint-Max Avenue !